As-tu prévu des chaises larges sans accoudoirs pour l’entretien des candidates et candidats à ton offre d’emploi ? As-tu un espace calme, un éclairage doux, des toilettes mixtes ? Accueilles-tu déjà des personnes concernées par le handicap ou la diversité corporelle ?
Le jargon peut exclure sans qu’on s’en rende compte. Il freine l’inclusion, la compréhension et la confiance, autant pour ton équipe que pour ta clientèle. Et si tu choisissais la clarté ? Je t’explique pourquoi c’est un vrai levier d’inclusion et d’efficacité.
Alors, le masculin générique est-il vraiment neutre ? J’ai lu en 2024 le livre « Le cerveau pense-t-il au masculin ? ». Il résume 40 ans de recherches qui confirment que le cerveau ne « pense » pas au masculin, surtout si l’on est une femme ou une personne non binaire.
Cette année, la loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées a soufflé ses vingt bougies… mais sans éclat. En effet, sa mise en œuvre laisse à désirer, comme le souligne le collectif Les Dévalideuses dans un article.
Notre société est fondée sur l’exclusion. Un constat qui, je le sais, peut vous faire réagir. Cette réalité ne m’a sauté aux yeux que récemment. Mon expérience professionnelle et personnelle m’ont, pourtant, permis d’amorcer quelques remises en cause sur l’importance du partage, de la clarté et de l’inclusivité.
Je lance ma newsletter pour partager mes réflexions sur l’inclusion et la diversité. Découvrez comment le français inclusif peut transformer vos écrits, donner sa place à chacune et chacun et agir concrètement. Prête ou prêt à explorer ce monde qui réconcilie mots et actes ?